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Conseil conjugal, thérapie du couple

A titre personnel, marié pendant 35 ans, père de trois enfants, divorcé depuis quelques années, j’ai vécu ensuite plusieurs histoires sentimentales de 3 à 4 ans chacune avant de retrouver un équilibre affectif.

Mon désir de savoir et de comprendre « le couple » m’a amené à rencontrer et à échanger avec de nombreuses personnes, malheureuses à deux, divorcées ou, à l’inverse, épanouies en couple, auprès desquelles j’ai cherché en profondeur à identifier leurs attentes et motivations  sur le plan amoureux.

Au plan professionnel, très vite attiré par des missions humaines, j’ai consacré l’essentiel de mon activité aux métiers de la relation.

Le lien m’est apparu comme une évidence.

Après m’être formé au conseil conjugal et à la thérapie du couple, j’ai pris la décision  d’associer cette nouvelle approche à celles déjà existantes.

 

Les couples qui durent nous attendrissent, voire nous fascinent car ils deviennent une exception.

Dans un monde en mutation, les anciens garde-fous cèdent : Religion, morale, tradition, famille …

Nous sommes amenés à vivre plusieurs existences privées, avec le désir de nous réaliser pleinement et vivre de formidables  passions.

La responsabilité, l’engagement, la fidélité, le sens de l’effort paraissent vieux jeu et le couple  qui dure semble inadapté au monde présent.

S’inscrit-il dans une logique culturelle ou dans une nécessité naturelle ?

De nos jours, par choix ou par raison, de plus en plus de personnes vivent seules, les familles monoparentales sont nombreuses, partager le quotidien n’est plus la règle et ceux qui commencent une vie de couple le font de plus en plus tard.

En occident, l’union libre devient la préférence.

Paradoxalement, amoureux, nous espérons que cet état dure toujours, mais dans notre esprit, nous prévoyons une issu de secours avec la possibilité de pouvoir rompre, et ce,  du fait des échecs sentimentaux passés et des peurs associées, mais aussi de par l’appréhension de perdre notre liberté.

 

Si les couples heureux sont créatifs, innovants pour nourrir leur épanouissement, les couples en crise font aussi preuve d’inventivité pour se créer des problèmes, parfois volontairement, parfois inconsciemment.

En général, les tensions s’organisent toujours autour des mêmes thèmes : Jalousie, désamour, infidélité, oppositions, manque de communication, manque d’assertivité.

 

A tous ceux qui espèrent le grand amour, à ceux qui veulent encore y  croire, la confiance, l’autonomie, l’optimisme, la communication, la séduction représentent quelques-unes des clés de la réussite.

 

Parlons-en …

Coaching célibataires et nouveaux couples

Au fil de mes discussions avec les personnes rencontrées, j’ai constaté que certaines femmes revendiquent leur célibat, ce qui est moins fréquent chez les hommes.
Les personnes allant dans ce sens ont en général une assez forte estime d’elle et semblent se suffirent à elle-même.
Si l’on « creuse » un peu, derrière ces affirmations, il y a souvent un ancien deuil amoureux douloureux, une relation parent-enfant conflictuelle … ou simplement une volonté de véhiculer l’image d’une situation « assumée ».
Chez beaucoup, cette affirmation face au célibat est une posture en lien avec les mouvances du développement personnel d’aujourd’hui, considérant essentiel de savoir vivre heureux seul.

Les bonnes personnes ayant vocation à se rencontrer ne peuvent se trouver, se reconnaître, qu’au bon moment, quand elles y sont prêtes.
Suivre les signes, écouter son intuition, lâcher prise, accepter que les choses arrivent quand c’est l’heure favorisent la bonne rencontre au bon moment.
Amour patient, prenant le temps de grandir, de bâtir de solides fondations chez chacun, attendant de façon plus ou moins consciente que l’alter égo vienne un jour à soi.
Au-delà de ces signes qu’il faut savoir accueillir, il est nécessaire d’avoir du courage et de la force pour saisir le bonheur, sortir de ses croyances limitantes, dépasser ses peurs, sauter dans l’inconnu sans savoir s’il y a un filet.

Pour rencontrer l’autre, il est nécessaire de s’être rencontré soi-même. 
Trouver son chemin, s’assumer peut demander une bonne connaissance de soi, du développement personnel, voire un travail thérapeutique.

Les couples qui durent se sont formés par envie et non par besoin.
L’autre n’est pas un coach, un thérapeute ou un pansement.
Au départ, nous sommes façonnés par les messages parentaux, notre éducation et toutes les croyances sur la vie en lien avec ces apprentissages.
Ce n’est qu’en rencontrant les expériences de la vie, faites de réussites et d’échecs, de bonheur et  de souffrance, que nous apprenons à être nous.

Travailler et nourrir les piliers fondamentaux propres à la rencontre, se libérer de ses croyances limitantes, tel est le chemin permettant de créer des relations amoureuses riches et adaptées à notre monde moderne et de faire du couple un moteur d’épanouissement et de croissance personnelle.

Je vous attends …

Accompagnement bienveillant du deuil

Ainsi va la vie … les deuils en font partis !
Nous le savons, le deuil est un processus long, plus ou moins douloureux se réalisant par étapes.
Être accompagné, dans l’écoute et la bienveillance, permet d’alléger la souffrance et d’activer le passage de ces étapes …et c’est déjà beaucoup.
Dans mes rencontres de personnes endeuillées, le constat est le suivant :
Certaines personnes décident très vite de focaliser sur le futur et de continuer à vivre en (re)partant à la conquête du bonheur.
D’autres restent bloquées dans le passé et n’arrivent pas à « avancer », restant enfermées dans leur souffrance.
L’intensité du deuil ne joue pas, seul la détermination, la force intérieure développée et les croyances ressources associées, font la différence.
C’est juste un constat, en aucun cas le début d’un préjugé.

Tout au long de notre existence, nous sommes touchés par des phénomènes de deuils, d’intensité variable :
Il peut s’agir de petits deuils :

  • Retour de vacances fortes en émotions, perte de la jeunesse, crise de la quarantaine, changement de lieu de vie, rupture amicale, projet non abouti, éloignement d’un enfant, licenciement, retraite.

Ou de deuils plus douloureux, voire violents :

  • Perte d’un(e) ami(e), rupture amoureuse, séparation, divorce, santé psychologique déficiente, accident corporel, handicap, perte d’un membre de la famille, décès d’un enfant.

 

Il s’agit de renoncer à des liens ou à une partie de nous et de continuer de vivre dans un environnement modifié en assumant un nouveau manque, une absence, une séparation.
Il faut accomplir un deuil : vivre avec le souvenir de ce qui a été et ne se poursuivra plus.
Nous sommes, pour la plupart, en mesure de réaliser ce travail, au prix d’une souffrance qui ne remet en cause ni nos équilibres de base ni nos capacités à rester actifs et à entretenir des relations normales avec autrui.
Avec l’aide de notre entourage, en nous appuyant sur des rites, en participant à des cérémonies permettant d’accepter la distance, nous parvenons à donner à la cause sa juste place dans notre mémoire.
Certains d’entre nous n’y parviennent pas spontanément, leur peine étant trop lourde, les ressources et l’aide disponibles ne suffisant pas à les apaiser.
Ils risquent de s’enliser dans un processus qui les bloque. Leur capacité à avoir des projets est inhibée, leur vie relationnelle est perturbée. Ils souffrent de la perte subie et de l’état dans lequel ils se trouvent.
La meilleure façon d’avancer est de faire appel à un professionnel offrant une aide psychologique sous forme d’entretiens de soutien.

 

Je vous accompagne …
 

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